L’IJBA salue la mémoire de David Meilhac

C’est avec une grande tristesse que l’équipe de l’IJBA a appris le décès de David Meilhac, étudiant à l’école entre 2000 et 2002. David, c’était d’abord un franc sourire, une énergie positive, c’était un casque audio vissé en permanence autour du cou, une voix aussi. Une voix de radio comme on dit ici. À l’antenne des matinales de France Bleu Drôme-Ardèche depuis quelques années, il informait son public avec rigueur et pétillance. Un pilier de radio.
Toujours tellement drôle. Et généreux, ouvert, curieux, très à l’écoute et décidé à profiter de chaque minute. Attaché à certaines valeurs aussi, très droit, très fidèle en amitié. Une merveille.
Il était passionné de musique, il avait organisé un festival de rock avec des copains sur sa terre natale, le Nord, où quelques anciens compagnons de promo s’étaient aventurés pour goûter bières et frites dans le cadre de son enfance. En bon nordiste, c’était un fan inconditionnel du RC Lens. Pendant ses deux années d’IUT journalisme, David a apporté beaucoup à l’école, toujours de bonne humeur, toujours bienveillant. Un de ces étudiants dont on se souvient.

Toute l’équipe, les anciens de la promo, s’associent à la peine de sa compagne et de sa famille. David, on pense à toi. Salut l’ami.

Dans la promotion fraternelle et joyeuse dont il faisait partie, David Meilhac conjuguait avec talent une solide présence et une sereine discrétion. Je me souviens de son sourire tendre et de sa joie de se former à ce métier qui l’habitait. De son amour de la radio et du sport, de ses racines du Nord qu’il évoquait le regard pétillant. D’une longue conversation aussi, avant son départ de l’école vers l’horizon radiophonique auquel il aspirait et qui l’a reconnu et intégré pour ses belles qualités humaines autant que pour sa voix et son souci de la précision.
Je partage la tristesse de ses amis de formation et de travail, de sa compagne et de sa famille, m’incline devant leur chagrin et installe désormais David, dans mon cœur et mon esprit, au milieu de mes souvenirs les plus chaleureux.
Edith Rémond

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